Depuis mon arrivée en Asie le 28 décembre, l’affaire la plus difficile à faire a été, paradoxalement, d’apprendre à ne rien faire. C’est pas compliqué : d’habitude, 79% du temps, je fais de quoi (travailler, étudier, cuisiner, déconner). Le 21% du temps qui reste, je dors (ce qui fait en moyenne 5,04 heures de sommeil par jour).
Ici, dans le Nord de le Thaïlande, l’attraction principale se résume à la visite de temples et de ruines. C’est super intéressant de voir tout ça, de lire là-dessus et d’apprendre. Sauf que généralement, en une journée on est capable de faire une bonne tournée des temples dans une ville. Ma première journée à Bangkok, après une courte nuit au BBB Inn, j’ai commencé ma visite à 08h00.
Probablement l’objet le plus vendu cette année : le télescope à selfie
Au bout de trois jours à Bangkok, je me suis mis à un peu badtripper : ma to do list était solidement entamée (sauf le défi que m’avait lancé mes chums de frencher un Ladyboy, ce qui n’est toujours pas arrivé). Ça fait que j’ai changé mon pattern hard time :
- Je me réveille rarement plus tard qu’au Québec. Ça fait que je travaille un peu mes photos, et je publie Vinyle Mobile (normalement avant 9h).
- J’essaie de courir une fois aux deux jours (meilleure décision du voyage : avoir avec moi mes shoe clack (c’est ben laid ce mot là : probablement pour ça que je l’utilise jamais !). Je m’ennuie de mes partners de course : Brisson, Choquette et Gouin !
- Je déjeune en lisant Pitchfork et en commandant des CD que je fais livrer chez mon frère (c’est pas Vinyle Mobile pour rien… !)
- Je pars visiter la ville jusqu’à 16h, moment approximatif où me trouve un bar, bois une Chang et lis un peu (en ce moment, je lis Le Dôme, de Stéphen King : c’est relax).
Il se passe quoi après 16h ? S-E-C-R-E-T. Pour l’instant !