“Mister Room 202 ? Mister Room 202 ? Do you need a Delhi map ?”. Approche plutôt gagnante, car je me suis enligné dans le bureau de l’agence de voyage de mon guesthouse sans trop me questionner. Le gentil Monsieur indien, bien intentionné, m’a par la suite offert un daytrip pour faire l’ensemble des lieux touristique de Delhi en une journée pour la coquette somme de 30$. Heureusement que j’ai promptement refusé, car j’ai par la suite appris que le lundi, tous les sites gouvernementaux sont fermés.
Pour une raison inconnue, cette photo me fait penser à mon père.
En quittant la chambre 202 avec un beau six heures de profond sommeil dans le corps, nous nous dirigeâmes (ben non, inquiétez vous pas, je commence pas à écrire au passé simple, je fait juste vous niaiser) vers les bazars. Parce qu’ici, quand on s’y attarde, presque chaque rue est un bazar. Un bazar de montres, un autre de pièces de char, puis un d’épices et un de cadenas. On vend de tout, pour tout. Et y’a du monde en sacre@&&$% qui sont là pour en acheter.
En déambulant à travers ce dédale d’objets, un hasard un peu calculé m’a fait tomber sur un bijoux de l’Inde. Le Taj Mahal ? Un jumeau de moi-même ? Non ! Le kule chat, un snack de Delhi qui semble assez rare à trouver. Heureux de pouvoir tester mon estomac de Gagnon, je me suis garoché dans cette superposition de fruits, sucre, pois chiches, pomme grenade, jus de lime et épices. Une explosion de saveur me rappelant presque l’extase gustatif de la tom yum goong banglamphu dégustée avec Richard à Bangkok, l’an dernier.
Un peu rassasiés de notre collation, Julie et moi nous sommes dirigés vers Jama Masjid, la mosquée de New Delhi. Gratuit et ouvert au public même le lundi, le plus gros lieu de culte musulman a quand même réussi à m’enlever une dizaine de piastres : mon kodak pis le téléphone cellulaire de Julie nous exposaient à la “camera tax”.
La “camera tax” nous a quand même permis de prendre une belle photo au top du minaret de la mosquée, 121 marches plus haut. Mais elle ne comprenait pas une garantie contre les odeurs de petits pieds (obligation pieds nus ou pieds de bas pas propes, dans environ 1 mètre carré) et contre le vertige clautrophobique de ma comparse de voyage. Après 30 secondes dans cet univers olfactif particulier, le teint verdâtre de Julie nous a poussé à descendre…
On dirait que Julie m’a emprunté mon veston de soirée
T es pas mal drôle me comparé un âne hi hi
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La ressemblance entre la vache et ton père peut être soit le piercing, soit la longueur des cheveux ou le beau sourire 😝. Bon voyage
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Merci et merci de nous suivre !!
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Ça ressemble plus à un boeuf mais bon !
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